L’Australie est une destination qui fait rêver plus d’un. En effet cette destination paradisiaque qui mêle paysages à couper le souffle, quartiers des affaires gigantesques ou encore plages enchanteresses constituent un assortiment adéquat pour un séjour d’une diversité extrême.
Cependant, nous savons que pour se rendre en Australie, il est nécessaire d’obtenir un visa afin d’être autorisé à entrer dans ce territoire étranger pour une certaine durée. En effet il existe différents types de visa pour les voyageurs partant en Australie :
- Le visa eVisitor est un visa gratuit qui permet de venir plusieurs fois en Australie pour des voyages d’affaire ou touristique, pendant une durée de 3 mois, dans un délai de 12 mois et qui n’est pas renouvelable. En équivalence et si vous ne pouvez pas prétendre au eVisitor, le Visitor Visa vous permet, pour les mêmes raisons de vous rendre en Australie mais pour une période de 3, 6 ou 12 mois. Ce visa demande une somme comprise entre 135 $ et 340 $.
- Si vous choisissez d’effectuer votre stage en Australie, il vous faudra cependant, une autorisation de travailler légalement en Australie, surtout si votre maître de stage décide de vous rémunérer. Les visas vacances-travail permettent d’être en règle lors des contrôles. En effet, si vous êtes titulaire d’un passeport français, votre seule option est de choisir le Working Holiday Visa (417).
Le groupe INSEEC propose d’opter pour ce visa qui coûte environ 450 AUD et vous permet de travailler légalement pendant une période de 12 mois à compter du jour où vous posez les pieds sur le territoire.
Et c’est là qu’il faut prendre conscience d’un détail important qui n’est pas automatiquement communiqué sur Internet :
Suite à ma propre expérience à Sydney et surtout aux français que j’ai rencontrés sur le territoire australien, beaucoup ont choisi de venir pendant une durée d’un an afin de vivre une aventure mêlant travail et découverte du pays. En règle générale, les voyageurs apprécient tellement cette destination, qu’ils souhaitent rester une seconde année. Mais pour avoir la possibilité de renouveler son Working Holiday Visa pour 12 mois supplémentaires, il est obligatoire d’effectuer 88 jours de travail dans l’agriculture, l’horticulture, la pêche, les mines ou encore la construction dans certaines régions d’Australie. Sans cela, impossible d’être éligible une seconde année à un visa de vacance-travail.
Cependant soyez ainsi conscient, que si votre choix de stage se porte vers une destination telle que l’Australie, vous n’aurez pas le temps d’effectuer ces 88 jours de travail et donc vous n’aurez pas la possibilité de revenir travailler en Australie dans les années à venir.
D’autres solutions sont bien évidemment envisageables, cependant, elles demanderont plus de moyens financiers ou plus de contraintes administratives.
Prenez alors bien conscience qu’en effectuant votre stage de deuxième année en Australie, vous prive d’une seconde expérience de vacances – travail dans le pays par la suite. Alors n’hésitez pas à vous renseigner, dans le cadre d’un stage non rémunéré, à opter pour un Visitor visa, qui vous permettrait de travailler de manière volontaire en Australie.
Cette destination est en toute honnêteté, incroyable, et réduire mon expérience en Australie à une durée de seulement 3 mois est réellement dommage, alors réfléchissez bien à votre choix avant de vous lancer dans cette merveilleuse aventure.